Notre cantatrice s’appelle Joséphine... Son grêle sifflet au milieu de nos lourds soucis, n’est-ce pas approximativement comme la pauvre existence de notre peuple dans le tumulte d’un univers ennemi ? Ce néant de voix, cette absence de talent, ce record du rien, s’affirme et s’ouvre un chemin jusqu’à nous, c’est un bien-être d’y penser. Grégoire Callies, porte ce texte de Franz Kafka, au milieu d’objets et de marionnettes, d’un univers sonore et de courtes vidéos à taille de valise.
Our singer’s name is Josephine... Her soft whistles in the midst of our heavy worries, isn't it roughly like the poor existence of our people in the tumult of an enemy universe? This nothingness of voice, this lack of talent, this record of nothing, asserts itself and opens a path to us, it is a well-being to think about it. Grégoire Callies, carries this text from Franz Kafka, amidst objects and puppets, a sound universe and short videos.